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Jasminka Keres

Jean-Yves Goujard

Emmanuel Juste

Journaliste dans le domaine du voyage, Emmanuel Juste est un photographe Bruxellois globe trotter qui porte un regard pertinent sur le monde. Grand voyageur, son émotion est intacte, forte.


"Une photo réussie, à mon avis, doit induire une rêverie chez le spectateur, susciter en lui une réflexion, une interrogation  – consciente ou non – sur les choses de ce monde, sur ce monde lui-même, sur son sens, son absurdité. Elle doit lever un coin de voile sur la beauté dont il est capable. J'ai entrepris de fixer toutes ces scènes qui, à mes yeux, disent quelque chose de la condition humaine".

  

Un photographe surpenant par son regard parfois conventionnel mais toujours travaillé. Difficile de l'enfermer dans un style. Il joue avec l'image sur toutes les situations, paysages ou scène de rue.


Né en 1962 dans une famille d'imprimeurs et libraires, il entre en 1979 à L'EFET, l'école de photogaphie parisienne de la rue de Picpus sous les recommandations du grand reporter Alain Ernoult. Il a exposé au festival international de Pingyao en Chine, à Mumbaï à l'Alliance Française, Au Chili, à Saint Petersburg au Loft Project, en France et en Bretagne (Brest, Quimper, Morlaix). Il vit à Brest. Il est également chargé de cours à l'Université de Bretagne Occidentale.

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Un travail photographique étonnant pour une photographe qui ne s'affiche pas comme une pro avec des mises en scène de personnages dignes des grands studios. Des images puissantes !


Photographe autodidacte d’origine croate, née en 1963. Enfance entre la Croatie et la Serbie, puis, suite au divorce de ses parents, en 1972 elle a rejoint sa mère en Allemagne. L’aventure photo a commencé avec le petit compact offert pour ses 12 ans lors de promenades solitaires à Nurenberg (Bavière) … En 1977 elle a rejoint son père en France où elle apprendra les mystères de la chambre noire lors d’ateliers de développement photo noir & blanc…

James Osmont travaille l'émotion de l'instant et le reflet de sa ville. La dureté floue, la force en clair-obscur, et l'ambivalence des sentiments guident ce jeune adepte d'une photographie comme media de la "déambulation à l'intérieur de soi"...


Originaire de Brest, J.Osmont était destiné à la photographie, un exutoire, une catharsis, une construction fugace et pourtant durable née de tourments artistiques qui ont longtemps cherché leur voie. La photographie c'est pour lui, tout à la fois la noblesse des moments ordinaires et une certaine lâcheté face aux souvenirs qui s'effacent...

James Osmont

Etienne Conte est un photographe professionnel qui vit et travaille en Roussillon. Il réalise plus de 30 expositions personnelles et participe à de nombreuses expos collectives.


C'est un habitué des Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles et il publie dans la revue "Regards".

"Je cherche à élaborer un langage photographique personnel, à oublier l’objet, à laisser apparaître des formes nouvelles et ainsi libérer mes images intérieures. Je ne dis pas «voyez ce que je vois», mais «voyez ce qui émane de ce que je vois». Elle est aussi rencontre car, muette, elle parlera à qui la regardera, la fera sienne en un mélange imprévisible".

  

Etienne Conte

Etienne Conte

Petite fille, je sentais mon esprit séparé de mon corps. La mort m’a approchée à 4 ans, j’ai été sauvée de justesse de la noyade.

Pendant mon adolescence, s’est poursuivie la quête d’élévation dans un désir de pureté, de transe, d’absolu. L’esprit était plus fort que le corps. L’union du corps et de l’esprit s’est fait claire après un travail d’analyse, l’expérience de l’hypnose et de transes.

C’est le livre de Barthes La Chambre Claire qui m’amène à la photographie. Ces mots : en l’instant un présent-passé, des images
en devenir de silence, Un caché révélé, le vivant-mort. En 2002, j’abandonne ma carrière pour me consacrer uniquement aux images.

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Marie-Agnès Périgault

Jean-Luc Renier

Né en 1958, Jean-Luc Renier vit et travaille à Liège, Belgique. Après plus de trente années de travaux en argentique et en noir et blanc, il achète son 1er appareil numérique en 2011 et se concentre depuis sur la photographie couleur.

Sa démarche actuelle tourne autour des lignes, beaucoup de lignes, horizontales, verticales, transversales, des lignes des villes et des champs, des formes géométriques puisées dans l’industrie ou dans le monde rural, un cadrage rigoureux, des sujets parfois glacés ou anodins  mais abordés de telle manière que de la poésie surgit là où on ne l’attendait pas. Et puis ici et là un cochon d’abattoir, un éléphant de cirque, un enfant comédien.

Certainement un trublion de la photographie. Christian Fournier nous apporte son regard de photographe publicitaire et de mode. Une démarche à contre courant du domaine exclusivement artistique mais néanmoins puissant.

Christian Fournier est né en 1953 à Arras en France. Photographe pigiste a Londres et en Californie, il fait des expéditions au Pôle Nord, Amazone, Chine, Vanuatu... Il est maintenant photographe indépendant à Paris pour la mode et la publicité pour grandes marques et agences. Son regard s'exprime aussi sur des valeurs artistiques pertinentes. C'est donc une approche différente qu'il est intéressant de voir ici.

Christian Fournier

Mickaël Serfaty

Mickaël Serfaty est un photographe reconnu... 40 expos, 7 prix, dont le 1er prix Agfa multicontrast ou le grand prix d'auteur de la FPF et 3 installations permanentes... C'est donc un "vrai photographe". Pourtant, son métier, c'est de mettre des enfants au monde !


Une très belle histoire et un beau parcours qui commence en 1959 à Casablanca. Mickaël Serfaty est particulièrement sensible à tout ce qui l'entoure. C'est un regard vif, puissant. Il ose prendre des risques photographiques et présente une palette très large de style au fil de ses expositions. Un bel inventeur d'images aussi séduisantes par leurs aspects graphiques que par leurs contenus émotionnels.

Auteur photographe d’origine Tchèque, autodidacte, Clément découvre et pratique très jeune la photographie. Il réalise ses premiers clichés avec l’argentique de son père. En 2011, il rejoint Paris et tombe amoureux de la ville.

Qualifié de « photographe architecte » son travail est très structuré, technique, mais toujours porteur d’un message et d’une émotion. Il y a aussi un aspect créatif et expressif, essentiel, où l’on peut transmettre ses ressentis ou livrer un message. » Ses photographies trahissent ses émotions, ses ressentis et les conditions de vie de son époque. En 2012, Clément fonde son studio et sa galerie d’art en collaboration avec Angelle Keller dans le quartier de Montmartre.

Photographe autodidacte de 36 ans de la ville de Morges en Suisse Romande a débuté la photographie récemment. Ce qui ne retire rien à son talent et même apporte une certaine fraîcheur d'esprit.


En 2012, il commence ses premières expositions dont le salon de la photo de Paris. "Ce qui me passionne, c’est de pouvoir, à travers une simple image, faire ressentir et dégager des émotions, des interrogations. Nominé au concours Wikilove, Lauréat TPG, Thème la ville, 1er prix couleur Réponse Photo, prix noir et blanc Art-Labo 2012, prix public Wanderlust Paris, Lauréat thème bleu Art-labo 2013, Lauréat 2014 du magazine Photo.fr

Adeline Spengler, c'est avant tout un coup de cœur spontanné et puissant. Une poésie photographique remarquable et remarqué. Un travail très soigné. Un univers émotionnel d'une grande finesse.


Née à Paris et y résidant toujours, Adeline Spengler a suivi des études d'arts plastiques, puis s’est orientée vers le graphisme. La photographie est devenue une évidence après s'être essayée à divers médiums comme la peinture ou le dessin. Nourrie de voyages et de littérature, Adeline  Spengler entretient au fil de ses images une atmosphère onirique qui renvoie à la fragilité et à l'impermanence des choses. Elle cherche à exprimer ce qu'on ressent comme indicible et nous entraîne dans une songerie poétique dès qu'elle se trouve derrière le viseur.

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Clément Reisky

Stéphane Simon

Adeline Spengler

Les photos de Beatrice Biewer nous offrent l'art de la nature. De l'infiniment grand à l'infiniment petit, elles saisissent la perfection de la vie et nous ouvrent les yeux et le cœur sur l'harmonie éternelle des couleurs et des formes que la nature invente.

Née en 1957 et d'origine allemande, elle vit et travaille aujourd'hui en pleine campagne dans le Bocage Bourbonnais en Allier, dans une nature préservée et riche d'une diversité, qui lui offre l'essentiel de ses sujets. « Ma démarche photographique tente de conserver cette simplicité: Ouvrir les yeux et prendre le temps de la contemplation, voir au delà des formes et des couleurs, s'imprégner de la lumière et trouver cette beauté qui fait naître la joie d'une simple brindille. »

Beatrice Biewer

Au début, il y a Versailles, le laboratoire  photo de son papa, amateur éclairé. Puis vient l' adolescence avec l'exploration du monde, Polaroid offert par sa grand mère en poche...
Viennent ensuite  les rencontres qui influencent le travail : Studio Harcourt, Willy Ronis, Jean-Marie Périer, Sarah Moon. Aujourd'hui, Angelle Keller, photographe portraitiste, épaule de nombreux artistes de la scène musicale Française en tant qu’Agent artistique. Possédant une empathie hors du commun, elle aborde la photographie avec une approche nouvelle où l’humain est au cœur des attentions.
Entre le Sud-Ouest de la France et Paris, Angelle Keller poursuit l'aventure du studio photographique créé à Montmartre et ses activités de production artistique en tant qu'auteur photographe.

Angelle Keller

Auteur photographe lyonnais né en 1973, Gwenaël découvre le monde de l'image grâce à différentes expériences dans le graphisme. Nourri d'images, il a rapidement ressenti le besoin de s'exprimer à travers ses propres créations. Ses sources d'inspiration proviennent d'univers picturaux variés tels que le cinéma, la peinture, ou la photographie.
En 2003, c'est en autodidacte que Gwenaël découvre la photographie numérique. Plus qu'une passion, elle devient une véritable vocation, voire une nécessité. Son approche artistique est avant tout instinctive ! Plutôt que de reproduire, Gwenaël préfère réinterpréter ce qui le touche, en mêlant poésie, mystère et atmosphère. Chasseur d'instant, il est à la recherche de cette seconde où la scène se met en place d'elle-même, sans trucages et sans artifices.

Gwenaël Bollinger

Laure Agneray

Laure Agneray est née en 1972. Elle commence la photographie en 2003, pour assouvir un besoin de "fixer" sa vie, et l’aider à prendre conscience de ce qui l’entoure.

Au fil des années mes photographies révèlent une vérité de l’esprit, le miroir de l'âme, la profondeur des sens. C’est ainsi, à la recherche de l’intense émotion que mon objectif ère d’un monde à l’autre capturant ce qu’un furtif regard ne saurait percevoir.

"Choisir son sujet reste un privilège quand on veut vivre de sa passion, j'ai fait ce choix"

"J'ai besoin de proximité pour photographier, de transpercer l'apparence pour atteindre l'émotion et je ne saurais et ne voudrais photographier   le néant et l’indifférence".

Abdelghafour Essafi


Né en 1967 au Maroc, Abdelghafour Essafi est arrivé en France en 1985 pour des études universitaires d’arts plastiques à l’issu desquelles, il a obtenu une Licence et une Maîtrise.


Il a exposé et participé à des expositions collectives en France et au Maroc et récemment à la grande exposition collective : "Cent ans/ 100 artistes" organisée par la Société Générale à Casablanca. Peintre de formation, il s’est intéressé aux autres domaines de création ; la sculpture, l’installation et depuis peu, à la photographie. Abdelghafour Essafi vit et travaille actuellement à Marseille comme artiste et professeur dans l’enseignement secondaire.

Anthony Liège

Photographe autodidacte de 32 ans, Anthony est un hypersensible dont les clichés sont pour l'essentiel épurés et poétiques. Son but est d'offrir une grande bouffée d'air et un sentiment de sérénité.

"Pour moi, la photographie est un réel moyen d'expression de mes sentiments, de mon émotivité et elle me permet de partager le ressenti d'un lieu. Photographier, ce n'est pas appuyer sur un bouton, c'est soit saisir un instant unique avec une émotion saisissante ou au contraire, s'approprier l'univers du lieu, l'étudier pour produire un cliché qui saura retranscrire tout cela. En effet, le post-traitement ne corrige pas une image, il aide juste à souligner une ambiance".

Marc Mercier

Photographe depuis près de 20 ans, et archéologue de formation, j’ai commencé à travailler comme photographe scientifique pour des laboratoires de recherche et enseigné à l'Université de Toulouse, avant de diversifier mes prestations et de développer une oeuvre photographique personnelle.

"Spirit", bien plus encore que toute autre de mes travaux, est la recherche de la lumière dans sa plus grande pureté et simplicité : une lumière irréelle qui effleure un monde à la fois d’eau et de terre, pour esquisser une épure que l’on croirait – à tord – dessinée à l’encre … Une recherche qui s’est étirée sur plus de quatre années avant de trouver cet équilibre entre lumière et matière…

Daniel Giry

À l’image, le photographe fait place à l’instinct, à ce qui anime le for intérieur, l’étymologie même du mot. Il ne discourt pas devant l’image, il ne paraphrase pas, il la bâtit en son sens même.

1961 : naissance à Paris

1981 : photographe de presse a l'agence REA

1993 : photographe de presse a l'agence Sygma

1999 : photographe de presse a l'agence Angeli

2010 : photographe de presse a l'agence Abacapress

Depuis 2012 retour a la photographie dite d'auteur.

1992 : 1er Prix European press arward Fuji

1993 : 150 photographies dans le métro parisien finançée par la RATP.

Xavier Vanlaere

Je photographie pour Le pouvoir esthétique et la  force émotionnelle des images. L’image est un moyen de symbolisation étroitement lié à ce que je vis qui entre en résonnance avec mes expériences intérieures.


Titulaire du DEFA et  du diplôme d’éducateur spécialisé (avec pour thème de mémoire de fin d’année «la photographie comme créateur de lien social» Xavier utilise, depuis une vingtaine d’années, la photographie  comme support socio-éducatif dans les structures de santé, de soins et de réinsertion. Aujourd’hui, Xavier vit et travaille dans le sud de la France. Il anime le collectif «Hors-Série» et conduit des ateliers de photographie et de laboratoire argentique à Marseille.

Stéphane Ponty

A travers mes photographies je transporte mes spectateurs dans un monde où l'onctuosité des rêves sont partie prenante.Apporter par l'émotion un peu de sérénité dans le monde actuel, un instant de repos, de douceur...Figer ces moments et laisser transparaître le sentiment de sentir ailleurs.
Photographe autodidacte de 37 ans je vis dans le Loiret. J'ai toujours été passionné par l'image, et ce, depuis mon plus jeune age. Mes séries photographiques sont en noir et blanc. La photographie prends une place importante dans ma vie quotidienne, j'en ai même ouvert un forum photographique (forumdephotos.com).

Philippe Martinez


Dans tous ces travaux , friches , asphalte , épaves , graffiti , je photographie des lieux et objets délaissés, oubliés mais chargés de sens et de beauté.


J'essaie de sublimer ces scories avant leur disparition totale , leur mort définitive. Je ne cherche pas à montrer l'humain mais son passage , sa trace. J'aimerais donner à voir à travers ces photographies le " memento mori " des temps modernes.

Jacques Meystre

Regarder la surface de l'eau, y voir son propre reflet assimilé au miroitement du soleil, observer le fond de l'eau. La photo c'est saisir un instant, choisir un cadre et le révéler. La photo c'est donner à voir le monde tel que je le ressens, c'est partager une émotion.


Jacques Meystre est un photographe autodidacte Suisse. Parallèlement à son métier de comédien, il s'initie à la photographie. En 2005, il s' installe en Grèce pour se consacrer entièrement à la photo. Il vit actuellement sur l'Ile d'Amorgos dans les Cyclades. Proche de la nature, la faune et la flore sont ses sujets de prédilection et ses pérégrinations guident son inspiration et lui apporte ses thématiques.

Akam Tredez


Akam Tredez, né en 1969, est entré aux Beaux-Arts de Paris en 1989, il continue ses expériences artistiques, de manière autodidacte. Il a assisté et partagé le quotidien de son beau-père peintre, Ruben Alterio.


"J’aime varier et combiner les techniques, l’expérimentation entre le réel et l’intervention. Les paysages banals ont un pouvoir presque hypnotisant sur ma conscience, l’extérieur est mon quotidien, les prises de vue représentent une partie infime de mes flâneries, mais permettent de rapporter un peu de cette matière, et de pouvoir agir dessus à mon tour, étant acteur et spectateur de ses mutations, tel le sujet qui se déplace dans le paysage".

Lionel Perret


A la manière d’un cinéaste, sa démarche photographique consiste à recadrer le réel pour ne garder que l’essence d’une poésie furtive révélée par la présence d’un vivant, qu’il soit homme, femme, enfant ou oiseau.


Il aime ces petits instants de grâce souvent éphémères, parfois “effet mer” dans lesquels des petites virgules de passage composent et subliment l’espace. Allant même jusqu’à revenir sur les lieux et attendre que la magie opère, lorsqu’un décor lui plaît beaucoup. Une magie toute en couleurs ou en noir et blanc où le mystère éclaire parfois une réalité empreinte de fiction.

«Photographier pour se rapprocher de l’humain… discrètement et à discrétion».

Henri Kartmann

Photographe et plasticien, vit en haute Provence. Son travail cherche des signes dans les nouveaux paysages et les limites de l’espace « naturel ».

Ses images environnementales cherchent à aller au delà de la description, presque au niveau de la matière. Depuis sa première exposition en 1969, il cherche dans des clichés incontestablement concrets une forme d’abstraction personnelle et créative. Il expose en France et à l’étranger (Espagne, USA, Russie, Cuba). Ses images ont été sélectionnées par plusieurs revues photographiques (Réponses-Photo, Chasseurs d’images) et il a publié en 2005 « Effet de serres ou l’esthétique des restes ».

Corentin Van Den Branden


Vit et travaille à Bruxelles. Passionné depuis toujours par l’art sous toutes ses formes, il a fait deux années d’histoire de l’art à l'Université Libre de Bruxelles.

«J’ai commencé par des photos de reportage qui ont été publiées dans un magazine bruxellois. Les photos présentées ici ont été prises en Belgique et, le plus souvent, à Bruxelles. Une ville passionnante car il s'y trouve très peu d’évidence photographique. C’est en tournant, en attendant, en regardant en l’air et à terre, en scrutant des recoins cachés qu’elle se montre intéressante. A partir de ce moment là, je n’ai plus quitté mon appareils. Le moindre déplacement est obligatoirement accompagné de quelques clichés».

Camille Eveillard

Mes photos doivent être avant tout esthétiques et interpeler celui ou celle qui la regarde. J’aimerais susciter aussi bien des émotions qu’une interrogation.
Née en 1992 en gironde, j’ai su très tôt que j’évoluerai dans le milieu Artistique. Après une brève expérience au théâtre, je me suis tournée vers la vidéo pour arriver tout naturellement à la Photo à l’âge de 16 ans. Ma rencontre avec Gérard Rancinan me donnera le déclic. L’école ne répond pas à mes attentes et bien soit, je me lance. Mon travail repose sur deux aspects : les photos dites traditionnelles, pour celles-ci je ne sais jamais à l’avance ce que je vais photographier, je me base sur un ressenti, une couleur, une ambiance… puis il y a les autres, celles que je détourne, que je transforme…

Delphine Bazard

Delphine Bazard, photographe professionnelle. Née en 1987 à Rennes. Vit et travaille à Paris.

Delphine Bazard a emprunté le nom de famille de ses grands-parents d'origine polonaise: "Strzelecki". Un nom qu'elle affectionne tout autant que son surnom: "Nine". Très tôt elle se passionne pour la musique et la danse contemporaine qu'elle approfondit au cours de ses études secondaires.

Après l'obtention du Bac L, option Arts Plastiques, c'est à Clermont-Ferrand qu'elle étudie la photographie grâce au soutien de son professeur, artiste photographe : Jürgen Nefzger à l'Ecole Supérieure d'Arts de Clermont Metropole. Diplômée en tant que photographe option "prise de vue" aux Gobelins, l'école de l'Image à Paris en 2013.

François Brumas


Âgé de 46 ans, François Brumas réside actuellement à Montpellier où il travaille comme directeur artistique. Son écriture photographique est axée sur le détournement du réel pour construire des images résolument oniriques.

Se définissant comme un « photographiste », il joue avec l'image, la manipule, tire partie des ambiguïtés du réel pour construire des univers poétiques.
« Bestiaire » est une série anthropomorphique qui s’appuie sur un exercice de « sampling », prenant sa source dans des fragments de clichés anciens.
Mi-homme, mi-bête, chacune de ces figures emblématiques devient le miroir de nos pulsions profondes, entre civilisation et sauvagerie. Une forme de transgression qui, par mimétisme, engage à sonder la psychologie humaine.

Veronika Tůmová


Née  en République Tchèque, Veronika Tůmová, est une photographe autodidacte. Sa passion pour la photographie a commencé suite à son arrivée en France en 2009 où elle a découvert cette nouvelle façon de s’exprimer.


Avec ses photos elle aime provoquer des émotions et raconter des histoires ouvertes à l’imagination des spectateurs. Son univers photographique est celui des rêves et des contes, des ombres et de la lumière.

Photo : Muriel Borovi

Marie Meulien


Née à Tournus. Vit et travaille dans la Drôme. Mode dʼexpression initial : lʼécrit, poèmes et formes courtes. De formation arts et industries graphiques, Marie Meulien exerce pendant trente ans dans la communication et lʼingénierie dʼédition. Depuis 2008, la photographie accompagne son écriture.


Ma passion pour lʼécrit et le livre mʼa conduite vers la belle édition publicitaire. Dans ce métier, jʼai beaucoup côtoyé la photographie professionnelle, sans la pratiquer. Cʼest au fil du temps que mon travail poétique, conjugué à mon expérience sensible de la relation texte-image, mʼamène à la photographie comme prolongement naturel de lʼacte dʼécrire.

Vanessa Andrieux


Cela fait maintenant plus de 14 ans que Vanessa  travaille comme photographe indépendante.Comme elle le dit, ce n'était pas réellement un choix, mais c'est plutôt la photographie qui s'est imposée dans sa vie, et elle a rapidement décidé de s'y consacrer entièrement.


Son talent et sa sensibilité uniques sont évidemment un bon début, mais ajoutez à cela sa ténacité, un esprit aventureux, et une autocritique constante et constructive, et vous aurez une idée de ce qui la fait avancer et progresser sans cesse.